NBers forgoing investments, relying solely on future lottery winnings

New Brunswick — A recent report put out by the financial division of Statistics Atlantic indicates that New Brunswickers have all but stopped investing their money, and are instead actually expecting to win Lotto 649.

From the first quarter of fiscal 2014 until now, Canadian banks have reported that their secure investments such as RRSPs and GICs have gone virtually untouched by the strangely optimistic New Brunswick population. Not only have they stopped investing, but New Brunswickers are also refusing to drop their hard-earned dollars into basic savings accounts for a rainy day — so sure is their dream of striking it rich.

InvestmentThe Manatee caught up with Wendel Wright, 41, as he was withdrawing money from an ATM in Brunswick Square in Saint John. “Back when I was in my 20s I’d slave away and put away some of every pay into a savings account. Now that I’ve finally got a few grand, it’s time to cash it in — taking this chunk right down to the Irving to get some lotto tickets,” he explained.

“I’m thinking I should be able to win that Set for Life game at the very least,” he said, waving the wad of bills around excitedly. “Just imagine it: a thousand bucks a week for 25 years! I can’t even envision that kinda money.”

Just as Wright banks on winning Set for Life, other New Brunswickers are blowing what could be their retirement savings or education funds on dozens of daily pull-tabs. “Every time I head over to the Quebec side of the river to get some beer I usually grab a handful of pull-tabs,” said Campbellton resident Fran Bellieu, 47. “I’m nowhere near retirement age, so I have quite a few more years to win enough to get me through. Super Bar tickets only cost a dollar, and if you get 3 gold bars next to each other you win $500! You don’t have to be a rocket scientist to see I’d be a fool not to buy them up.”

Financial experts are puzzled as to how the entire population of New Brunswick has come to believe they stand a better chance at winning the lottery than at saving a chunk of their pay for the future. “What we’re seeing is a weird trend that doesn’t hold steady across Canada,” said a perplexed Garth Norris, an investment analyst with Canada Bank. “While other provinces like Ontario and British Columbia are investing more in the face of shaky economic times, people from New Brunswick are putting it all on whatever VLT or horse or scratch ticket they heard is ‘lucky.’ In fact, some people are even getting themselves into debt by taking out substantial loans, dubbed ‘lotto loans,’ specifically to use toward various ALC games — they’re calling it ‘good debt’ since it’s ‘bound to make them rich.’

“I don’t know,” said Norris, shaking his head. “… maybe we could all learn a thing or two from New Brunswickers about looking on the bright side of life.”

 

  1. Any connections to the Sts -Can survey on how happy Canadian are , new-Brunswicker among the happiest. See article from l’Acadie-Nouvelle

    MONCTON – Les Néo-Brunswickois sont parmi les plus satisfaits de leur vie au Canada, selon un nouveau rapport de Statistique Canada. Deux villes de la province se classent parmi les 10 meilleures municipalités canadiennes en terme de bonheur.

    La publication, publiée lundi après près de cinq ans d’enquête, classe 33 régions métropolitaines de recensement et 58 régions économiques d’un océan à l’autre selon le bien-être subjectif de leurs résidants.

    Les répondants devaient, en se servant d’une échelle de 0 à 10, dire «quel sentiment [ils] éprouvent maintenant à l’égard de [leur] vie.

    Les résultats de l’étude nous apprennent que Saint-Jean est 6e au pays avec un taux de satisfaction moyen de 8,125 sur 10. Moncton talonne de près la ville portuaire avec un taux de 8,046, ce qui lui a mérité le 9e rang au pays. La moyenne nationale est de 7,973.

    L’étude conclut que parmi toutes les villes du pays, les personnes les plus bienheureuses se retrouvent à Saguenay, au Québec. Les répondants de la région ont donné en moyenne une valeur de 8,245 sur 10 à leur satisfaction de vie. La ville, qui a récemment fait les manchettes nationales en lien avec la question des prières au début des réunions municipales, est suivie par Trois-Rivières (8,176) et Saint John’s, en Terre-Neuve-et-Labrador (8,174).

    De l’autre côté de la médaille se retrouvent les villes de Vancouver (7,808), Toronto (7,818) et Windsor (7,850).

    L’enquête s’est également penchée sur le bonheur dans 58 régions rurales, ou «régions économiques». Les deux régions recensées dans le nord du Nouveau-Brunswick, soit Campbellton-Miramichi et Edmundston-Woodstock, ont obtenu un score de 8,21. Elles se retrouvent à égalité au 10e rang.

    Pour leur part, la région de Kent a terminé en 39e position (8,06) alors que Fredericton et les environs se sont classés 47es (8,03).

    À l’échelle nationale, le Nord-du-Québec a obtenu le meilleur score, avec 8,4, alors que «Nord-est», en Colombie-Britannique, a obtenu le pire, avec 7,84.

    L’étude de Statistique Canada conclut que les femmes canadiennes se disent légèrement plus satisfaites de leur vie que les hommes. De plus, les jeunes personnes et les personnes âgées ont un meilleur taux de satisfaction que les personnes dans la quarantaine et en début de la cinquantaine.

    Le rapport affirme aussi que les personnes mariées se disent plus satisfaites de la vie que les personnes divorcées, séparées, veuves ou jamais mariées. Il y aurait également un lien entre le bonheur et la santé, le revenu et l’appartenance à une communauté, ainsi qu’une corrélation inverse entre le niveau de scolarité et le bien-être.

    Dans le cadre de la recherche, au moins 2000 personnes ont été sondées dans chaque région métropolitaine, à l’exception de quelques villes en Ontario, au Québec et en Colombie-Britannique. Dans les régions rurales, au moins 1000 personnes ont répondu au sondage. Plus de 340 000 personnes ont été sondées au total.

    Publié dans: Actualités

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